COBEGA COCA-COLA

Usine d’embouteillage de boissons

• Emplacement : martorelles/montornès (espagne)
• Client : cobega
• Services : de recherche d’emplacement
  Projet de démarches d’urbanisation
  Projet d’urbanisation
  Autorisation environnementale
  Etude conceptuelle de l’usine
  Adéquation aux réglementations spécifiques
  Projet de génie civil, architecture, installations et systèmes spéciaux
  Maîtrise d’ouvrage
  Ingénierie juridique
  Conseil logistique
• Surface : 90 000 m2 de construction et 90 000 m2 urbanisés
• Année : 2002-aujourd’hui

Cobega a décidé de centraliser la production des centres qui existent actuellement à Barcelone et Sant Quirze dans une nouvelle usine à Martorelles-Montornès del Vallès.
Il a fallu construire une usine capable de couvrir les besoins en espace des machines des 6 années à venir et pouvant être facilement agrandie ultérieurement.
Les installations de l’usine se distinguent par leur amplitude. Située sur une parcelle faisant 45 hectares à l’origine, et avec plus de 90 000 mètres de construction et 90 000 mètres urbanisés, elle est actuellement la deuxième plus grande usine au monde de ce fabricant à présenter ces caractéristiques.
L’objectif principal du projet de la nouvelle usine d’embouteillage de boissons rafraîchissantes était de construire une usine pouvant satisfaire les besoins de production (et agrandissement des installations) et s’intégrant dans l’environnement, en particulier en ce qui concerne l’efficacité des équipements et processus.
La nouvelle usine est devenue une référence mondiale, grâce à l’utilisation de technologie de pointe dans l’embouteillage et le traitement de l’eau, ainsi qu’à l’organisation et l’application de critères de durabilité.
Ce projet est le résultat de nombreuses heures de travail pour obtenir un produit de pointe pour sa conception, ses coûts de production, sa flexibilité en vue d’agrandissements futurs et son utilisation de sous-produits qui sont généralement mis au rebut.
Sa conception a également tenu compte de sa situation géographique à la limite entre la Sierra de Marina et le fleuve Besòs. Loin de constituer un obstacle au mouvement de la faune, elle devait représenter un connecteur biologique pour lui permettre de circuler librement dans les deux habitats.